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CHÂTEAU CLARISSE : LE PREMIER MILLÉSIME RÉCOMPENSÉ

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LE CHÂTEAU CLARISSE « VIEILLES VIGNES » EST L’UN DES DEUX DEMI-FINALISTES DE LA COUPE DES CRUS DE SAINT-EMILION 2015, EN APPELLATION PUISSEGUIN SAINT-ÉMILION.

Didier Le Calvez a donné une nouvelle impulsion au Château Clarisse en 2009. Dès le départ, le P.D.G. du palace Le Bristol a voulu faire un vin de grande qualité. Pari réussi puisque le trio de millésimes 2010, 2011 et 2012, en cuvée « Vieilles Vignes », a atteint les demi-finales dela Coupe des Crus de Saint-Emilion 2015.

LES SOLS DU CHÂTEAU CLARISSE AU CŒUR DES CHOIX

C’est sur le plateau ventilé de Puisseguin que Didier Le Calvez s’est installé voilà 6 ans. Aidé par son ami de longue date, Stéphane Derenoncourt, il travaille ses quinze hectares et demi de vigne, sur ces sols argilo-calcaires, pour fabriquer un « vin riche en parfum et tout en subtilité ». « C’est un projet mené main dans la main avec Stéphane. Je me laisse guider par ses conseils dans la conduite du vignoble, j’essaie d’être le bon élève de la classe ». Ce qui n’enlève pas l’expression de ses propres envies : « faire une agriculture raisonnée, sans 

herbicides, avec un travail des sols et des vendanges manuelles. Nous essayons de faire sur le plateau de Puisseguin une culture équivalente à des Premiers Crus de Saint-Émilion ». Cette première récompense obtenue en Coupe des Crus de Saint-Emilion « nous conforte dans nos choix ». Car selon Didier Le Calvez, cette compétition est « un très bon baromètre. Ce que j’aime, c’est d’être sélectionné sur trois millésimes. Ça répond à l’idée que nous avons de Clarisse : faire un vin constant dans sa qualité, d’année en année »

LE PUISSEGUIN SAINT-ÉMILION 2010, 2011 ET 2012

Pour Didier Le Calvez, l’autre plaisir est que le millésime 2010, le premier de la cuvée « vieilles vignes », soit déjà reconnu. Il a été élaboré avec des vignes âgées de 65 ans en moyenne. « 2010, c’est le millésime que pratiquement personne ne pouvait rater. C’est un très beau millésime. Aujourd’hui, je trouve que l’on fait un meilleur vin car cette année-là, il n’y avait qu’un an de travail des sols. » L’année 2011 a été une « année difficile, mais le travail des sols pendant deux ans s’est ressenti et a permis de faire ressortir la minéralité. 2012, lui, est plusaccompli, 

plus rond, on va plus vers le produit tel que nous voulons l’avoir à terme ». Car au-delà de cette place de demi-finaliste, Didier Le Calvez cherche avant tout à faire « un vin élégant et qui se distingue, avec un bon rapport qualité prix ». Tout est donc contrôlé, jusqu’au choix méticuleux des tonneliers. « Nous nous sommes lancés dans l’aventure par défi et avec plaisir. Il y a une grande satisfaction à essayer de faire un vin le plus raisonné, le plus pur possible. Je pense que lorsqu’on gère un domaine viticole avec un grand respect de la nature, on accomplit quelque chose ».

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